Hobie se venge de sa défenderesse
Eyl 25, 2023 // By:admin // No Comment
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Hobie se venge de sa défenderesse
Con’s Revenge — III
Coulybaca / Black Demon
En traînant chaque jour autour du tribunal, Hobie recherchait sa pro-chaine victime, le moment était venu de faire payer à cette petite salope qui l’avait défendu son manque de conviction et la faiblesse de son tra-vail
Ce qui le choquait le plus, c’est que cette foutue salope était vive, mais il était évident qu’elle n’avait pas cru en son innocence.
Ainsi les articles saisi chez lui étaient le fruit d’anciens cambriolages ce qui ne prouvait en aucun cas sa participation à celui dont il avait été ac-cusé.
Cette salope lui avait conseillé de plaider coupable, et, dès son refus il fut évident qu’elle ne le défendrait que mollement.
En tout cas il avait décidé de le lui faire payer cher.
Venue au tribunal pour écouter une péroraison, Hélène Mills revoyait ses notes tout en se dirigeant vers la salle d’audience.
Son diplôme en poche, elle avait tout de suite rejoint ce cabinet d’avocat. Elle avait reçu plusieurs offres impressionnantes de différents cabinets de la ville mais avait choisi de rejoindre celui là qui se souciait de défen-dre de pauvres gens.
Elle voulait consacrer quelques années à aider les malheureux qui n’avaient pas accès à la défense d’avocats de renom, se réservant de réorienter sa carrière par la suite.
Mais elle ne ressentait aucune pitié envers les voleurs, les violeurs ou les meurtries plus spécialement s’il s’agissait de récidivistes.
Elle se souvenait d’un voleur nommé Hobie Thompson et de son refus de plaider coupable, alors qu’on avait trouvé chez lui des articles volés.
Elle se souvenait bien de son cas et du fait qu’on avait rien trouvé chez lui correspondant au cambriolage dont il était accusé. Elle avait considéré que cette accusation de cambriolage était avérée.
La vie d’Hélène se déroulait heureuse et paisible, elle avait épousé son amoureux des années collège et lui avait donné deux beaux enfants.
Elle pensait à son cher époux, Sam, c’était le seul homme qu’elle ait connu depuis leur rencontre au collège.
A l’âge de 32 ans, Hélène était très bien notée dans sa profession et elle allait bientôt être chargée de la direction du bureau des avocats de la dé-fense.
La vie ne pouvait plus lui sourire, mariée à l’homme qu’elle chérissait et mère de deux beaux enfants. Assis dans un coin éloigné de la salle d’audience, Hobie se léchait les lèvres en lorgnant sur la belle avocate de la défense. Il la regarda relire ses notes alors qu’elle passait devant lui se dirigeant vers l’ascenseur, sans remarquer sa présence me-naçante. L’insouciante beauté ne prêtait aucune attention à ce qui l’envi-ronnait.
-“Bordel…. Je vais bientôt savoir comment est faite cette chatte sauvage lorsque je lui aurai arraché sa tenue de service….. ” se disait Hobie hilare.
Comme sa proie était la seule personne à prendre l’ascenseur, il nota l’étage où il s’était arrêté. Il prit l’ascenseur suivant et monta au troisième à la recherche de la belle avocate.
Hélène était si absorbée par son argumentation contrant les conclusions du juge qu’elle ignorait la présence incongrue d’Hobie sur les bancs de l’assistance. Il l’observait minutieusement, la déshabillant du regard.
Une fois les débats conclus, Hélène se retira dans son bureau, elle pen-sait à son mari, se demandant si elle ne se montrait pas trop prude avec lui au regard de ses désirs sexuels.
Mais dans sa vie intime, Hélène ne voulait pas s’aventurer sur ce terrain, elle pensait que seule une vulgaire pute pourrait satisfaire des appétits si pervers.
Pas un homme ne la respecterait si elle se montrait assez vicieuse pour faire une fellation ou se laisser faire un cunnilingus.
Préoccupée par ces pensées, elle ne prêtait aucune attention à ce mâle noir qui la filait discrètement.
En atteignant l’immeuble de ses bureaux, Hélène décida de laisser quel-ques documents dans sa voiture pour ne pas avoir à les tringbaler partout avec elle, elle donnait ainsi l’occasion à son suiveur de se documenter facilement sur elle.
Lorsqu’elle retourna chez elle, ses enfants jouaient au football avec leur père sur la pelouse devant la maison.
Par chance Sam était sorti tôt de son boulot et avait pu aller chercher ses enfants à l’issue de leur entraînement de foot ball.
Ses fils avaient 6 et 7 ans, ils adoraient les sports collectifs et jouaient dans l’équipe des benjamins.
Son mari lui sourit et lui fit signe de les rejoindre. A son insu, une vieille Ford l’avait suivie jusque chez elle et s’était garée dans le virage lors-qu’elle avait tourné pour se ranger dans l’allée du garage.
Ce soir, les Mills avaient mangés en famille à la maison, les enfants avaient l’autorisation de regarder la télévision avant d’aller se coucher.
Finalement Hélène et Sam purent refermer la porte de leur chambre sur eux, ils se roulèrent des patins passionnés en se laissant tomber sur le lit.
Hélène était toujours ravie de faire l’amour avec Sam, bursa escort elle voulait seule-ment qu’il ne lui demande pas de se livrer à des actes que seuls les prostituées accomplissaient. Bien sûr elle voulait complaire à l’homme qu’elle aimait, mais elle ne pouvait se résoudre à lui faire une fellation!
-“Qu’arriverait-il si elle faisait cela?….
-“Sam lui poserait-il la main sur la nuque la forçant à le laisser éjaculer dans sa bouche?…..
-“L’obligerait-il à avaler sa semnce?…..”
Sam n’en croyait pas sa chance, la plus belle fille du collège était tombée amoureuse de lui! Hélène était alors la plus belle fille du collège, celle qui faisait battre les coeurs de tous les mâles!
Il souhaitait seulement qu’elle se montre moins prude dans leurs rapports intimes, il savait qu’elle était arrivée totalement inexpérimentée au mariage, avec une éducation répressive, se refusant à varier de la position du missionnaire.
Il avait désespérément cherché à insérer sa bite entre ses lèvres, mais elle avait toujours refusé de lui accorder ce plaisir! C’était la même chose lorsqu’il voulait lui bouffer le minou!
Une fois même il avait tenté de la sodomiser, cela avait tourné au pugi-lat.
Ce soir comme d”habitude, elle n’avait admis que de faire l’amour dans la position du missionnaire. Mais ce qu’il détestait le plus, c’était la né-cessité d’employer des capotes.
Ayant deux beaux enfants, et une belle carrière à poursuivre, ils avaient décidé de se satisfaire, pour l’instant, de la taille de leur petite famille, peut-être referaient-ils un enfant plus tard.
Hélène avait pris la pilule mais elle avait du cesser, elle faisait trop de réactions allergiques. Aussi s’en remettaient-ils à la sécurisation des ca-potes.
Le vendredi suivant, Hélène sortit en avance de son bureau, elle en pro-fita pour aller chercher les deux enfants à la fin de leur entraînement de football. Elle leur donna un gros bisou et les envoya jouer dans l’arrière cour, quelques copains du voisinage se joignirent à eux.
Elle monta alors dans sa chambre pour quitter sa tenue de travail et prendre une douche bien chaude.
Dans la chaude sécurité de sa chambre, elle drapa sa veste sur le dos-seret d’une chaise descendit la fermeture de sa jupe bleue marine et la laissa choir au sol. Puis elle déboutonna son chemisier et l’ôta, elle n’était plus vêtue que de son élégant soutien-gorge en dentelles, d’une croquignolette petite culotte. Elle se dirigea alors vers le pied du lit pour enlever ses bas noirs. Ses longues jambes laiteuses avaient fait rêver bien des hommes, Sam aimait rouler lui même ses bas sur ses cuisses pour les lui ôter.
A son insu, Hobie, caché dans les toilettes, lorgnait avec convoitise ses langues jambes si sexy, par la porte entrebâillée.
Hobie haletait et se léchait les lèvres alors qu’il il lorgnait la belle et jeune juriste enlevant ses bas. Il commença à se branler alors qu’elle exposait ses longues jambes laiteuses sous ses yeux.
-“Mon Dieu ….. Je ne peux plus attendre pour sentir ses longues jambes se refermer dans mon dos!….. Dans neuf mois, elle écartera ses jolies cuisses pour accoucher d’un petit bâtard noir!…..” grogna-t-il sourdement.
Il continua à épier Hélène qui se rendait dans la salle de bain pour pren-dre une douche.
En entendant crépiter la douche, Hobie rampa jusqu’à la porte de la salle de bain et jeta un coup d’oeil plein de convoitise sur l’insouciante jeune femme. Il la voyait dans la cabine de douche transparente, il observait son somptueux corps dans toute sa gloire.
-“Bordel ” pensa-t-il soudain, ” Comme j’aimerai la rejoindre sous la douche pour l’asperger de foutre!…. mais je suppose que je ferai mieux de l’attendre dans le lit qu’elle partage avec son époux.”
Après avoir enfilé une sortie de bain blanche, elle retourna dans la chambre. Elle se dirigea droit vers le coin de la fenêtre pour jeter un oeil sur les enfants qui jouaient dans l’arrière cour. Elle sourit à la vue de ses enfants prenant du plaisir avec leurs copains.
-“Ahhhhhhhhhhh!….” haleta-t-elle, mais son cri fut immédiatement coupé par la large main qui lui couvrit la bouche.
Paniquée, incapable de crier, elle sentit une autre main à sa taille ou-vrant sa robe de bain.
Elle ne pouvait pas bouger, alors qu’il détachait la ceinture de sa sortie de bain, et ‘ouvrait.
-“Tu veux crier salope?… Je vais enlever ma main de ta bouche … vas y hurle crie aussi fort que tu le peux ….. Mais lorsque tes en-fants se rueront à ton aide, tu te doutes de ce que je leur ferai!…..”la menaça Hobie, la paralysant de peur.
-“Rappelle toi ma chérie …. Tu voulais que je plaide coupable sa-lope!….. Eh bien aujourd’hui tu devras assurer ta défense salope!….. ” ricana-t-il lourdment.
-“Oohhhhhhh …… S’il vous plaiiiiiiiiiiitttttt!…..” le suppliait-elle déjà alors qu’il touchait sa chair soyeuse.
Elle ferma les yeux alors que la large main rampait lentement sur son corps l’explorant görükle escort minutieusement.
-“Oohhhhhhhhhhhh, nonnnnnnnn ….. Mon Dieuuuuuuuu, nonnnnnnn …… Ohhhhhhhhhh!….. S’il vous plait …. Ayez pitié ….” sanglotait elle alors qu’il roulait ses tétons entre ses doigts, les manipulant avec rudesse.
La sortie de bain blanche gisait en boule à ses pieds, elle ne pouvait pas bouger, elle avait peur de crier ce qui mettrait ses enfants en danger.
Elle haleta une main fureteuse s’était faufilée entre ses cuisses et s’approchait de sa féminité.
-“Oohhhhhhhhhhh …… Mon Dieuuuuuuuu!….” gémit-elle lorsqu’un doigt épais sépara ses grandes lèvres et se mit à titiller son clito.
-“Onoonnnnnnn … Je vous en prieeeeeeeeee ….. Ahhhhhhhhh!…….” coassa-t-elle le corps secoué de frissons convulsifs alors qu’elle succombait à un premier orgasme, le plus intense qu’elle ait jamais ressenti.
N’ayant jamais atteint un orgasme de cette manière, Hélène était hébé-tée.
Hobie la transporta sur le lit qu’elle partageait habituellement avec son époux.
La couverture repoussée, elle vit les draps propres et l’oreiller de son mari placé au milieu du lit.
Puis il l’étendit sur le lit, l’oreiller sous les hanches, livrant sa féminité à la merci de l’ex détenu noir.
-“Ohhhhhhh … S’il vous plait ….. Nonnnnnnnnn ….” se lamenta t-elle alors que son agresseur se penchait sur son mont de vénus.
Cet intrus allait poser sa bouche sur sa féminité, c’était encore quelque chose qu’elle avait refusé à Bill!
Cet homme était sur le point de lui faire subir l’impensable!
Comme elle se sentait coupable d’avoir privé son mari de ce plaisir que cette brute dépravée allait lui faire endurer. Soudain, elle arqua ses cuis-ses alors que son mufle fouillait sa fente, la langue agile s’emparant de son clito vibrant. Plantant ses talons dans le matelas, Hélène agrippa la chevelure noire de son agresseur, s’arc-boutant pour mieux profiter de ce plaisir indésiré.
-“Oohhhhhhhhh ….. Nonnnnnnnnn …… Je vais …. Je vaiiiiiiiis jouiirrrrrrrr ….. Mon Dieuuuuuu Je ….. Je jouis ……. ” grogna-t-elle désespérée d’afficher aussi clairement son émoi.
Allongée sans défense sur son lit, elle était à sa merci, il rampa sur elle lui ordonnant de regarder sa grosse bite noire qui allait ruiner sa vie. Elle avala sa salive à la vue de la plus grosse queue qu’elle ait jamais vue, jamais même imaginé. C’était vraiment une colonne comparée au mi-nuscule penis de Sam.
Horrifiée elle lorgnait l’énorme bite sur le méat de laquelle suintaient déjà quelques gouttes de pré sperme.
A la vue de cette monstrueuse pine qui allait ruiner sa vie, qui même pourrait la tuer, elle se dit qu’aucune femme ne pourrait adapter sa chatte à un tel obélisque.
Puis elle constata qu’il ne portait aucun préservatif alors qu’elle se trou-vait en pleine phase d’ovulation.
-“Oh … S’il vous plait ….. Non ….. Non ……Ca ne se peut pas ….. Vous risquez de m’engrosser!…. ” balbutia-t-elle paniquée.
Hélène tremblait de tout son corps, alors que le gland épais fouillait sa fente, séparant ses babines juteuses, se frottant de bas en haut dans sa moiteur avant de se positionner pour l’embrocher.
Comprenant qu’elle ne pourrait empêcher cet immonde viol, elle gardait assez de lucidité pour essayer de minimiser les éventuelles conséquen-ces de cet acte méprisable.
-“Ohhhhhhhh …. S’il vous plait …. S’il vous plait ………. Mon mari a laissé des capotes dans le tiroir de la commode …………. ” sup-pliait-elle éperdue.
-“Ohhhhhhhhh ….. Owwwwwwwwww ….. C’est trop gros …… Ja-mais ma chatte ne s’adaptera ……. S’il vous plait arrêtez ….. On, nonnnnnnnn … Arrrêtez …… Arrêtezzzzzzzz ….. Vous êtes bien trop gros ……” grognait Hélène essayant de le repousser à deux mains.
Elle se sentait tendue comme jamais elle ne l’avait été, forcée d’accepter quelque chose d’aussi détestable, d’aussi humiliant.
Elle n’avait jamais touchée que la bite de Sam son mari, mais les 9 cen-timètres de Sam étaient ridicules comparés à la monstruosité qui allait la défoncer.
–
-“Aieeeeeeeeeeeeeeee ….. Ohhhhhhhhhhhhhhhhh!….” se lamen-ta-t-elle quand son agresseur lui saisit les hanches et enfouit bruta-lement la totalité de sa bite dans son étroite petite chagatte sans aucune pitié.
C’était exactement ce dont Hobie avait rêvé en prison, faire payer cette ravissante jeune femme qui n’avait pas cru à son histoire, la faire pleurer de douleur en la baisant d’enfer sur son lit conjugal.
Puis Hobie se retira lentement, ne laissant que son bourgeon à l’orée de sa foufoune, puis il la poignarda vicieusement de toutes ses forces.
Il voulait faire sentir à cette petite pute toute la colère qu’il avait amassée contre elle.
Chaque gémissement, chaque plainte, chaque sanglot faisait les délices d’Hobie qui lui faisait payer un juste prix.
Le lit des Mills grinçait comme il n’avait bursa escort bayan jamais grincé auparavant, la tête du lit heurtait le mur, il menaçait de s’écrouler sous les à coups sauva-ges.
Les longs retraits suivis de brutaux empalements commençaient à affecter les sens d’Hélène, les muscles de ses cuisses se contractaient spasmodiquement, ses muscles vaginaux enserraient la puissante queue qui la poignardait profondément.
Hélène ne put endiguer ses émotions plus longtemps, ses jambes ses nouèrent dans le dos de son violeur.
-“Ohhh …. Ahhhhh … Ohhhh …. Ohhhhh ….. Ohhhhhh! … psalmodiait-elle inconsciemment à chaque puissante pénétration de sa foufoune juteuse.
Puis, délibérément Hobie ralentit son rythme, il voulait rendre folle cette petite salope, lui faire ressentir chaque coup de sa grosse bite noire qui ruinait sa vie.
-“Ohhhhhhhhhhh ….. Mon Dieu! …….” Gémissait Hélène, serrant ses cuisses sur le torse de son agresseur verrouillant ses chevilles pour se serrer contre lui pour se faire baiser plus profondément.
Elle ne s’était jamais sentie aussi excitée, jamais un tel brasier n’avait irradiait son entrecuisse, jamais elle n’avait eu un tel besoin de jouir pour rassasier ses sens.
Hobie rit en voyant la ravissante jeune femme s’arquer pour aspirer plus profondément sa bite, il savait qu’il bouleversait la vie si rangée de cette petite femme si prude, si guindée.
Terrassée par un orgasme sauvage, elle cria :
-“Oh, nonnnnnn …. Mon Dieu …… Oh mon Dieuuuuuuuu …… Ne m’abandonnez pas …… Ohhhhhhhhhh …. Je jouiiiiiiiiiiiiisssssssss …….” Elle l’étreignit étroitement, sa bite ensevelie jusqu’aux couil-les dans son ventre palpitant.
Hobie adorait la voir succomber à un orgasme d’une telle violence.
Cela prit quelques minutes avant que les soubresauts convulsifs cessent et Hobie restait enfoui profondément dans son sexe palpitant.
Il rit alors que la naïve jeune femme délirait visiblement, encore sous l’emprise des sensationnelles sensations que lui avait procuré la bite profondément enfouie elle. Il sourit en la sentant se détendre laissant re-tomber ses bras et ses jambes sur le lit. Un rapide retrait de sa bite provoqua la reprise de l’étreinte de ses bars et jambes tandis qu’elle ‘implorait :
-“Ohhhh …. Ohhh mon Dieu …. Non …. Reste en moi!…..”.
Alors il l’embrocha d’un brutal cou de boutoir s’enfouissant jusqu’aux couilles dans la ravissante jeune femme qui larmoyait.
Encore heureux que les fenêtres soient fermées, sinon ses enfants l’au-raient entendu conjurer :
-“Ohhhhh … S’il vous plait ….. Je vous en prie …. Je vous en prieeeeeeeeee …… Ne me faite plus ça …… ” balbutiait la jeune femme entre deux sanglots.
Alors qu’il accélérait le rythme de son pilonnage, Hélène réalisa que son assaillant noir n’allait plus tarder à lui injecter son foutre gras dans l’uté-rus.
-“Oh, mon Dieu ….. il va jouir!….. Il va jouir dans mon ventre!….. Il va m’engrosser!……” réalisa-t-elle avec horreur.
-“Oh s’il vous plait …..S’il vous plait … Soyez miséricordieux … ne jouissez pas dans mon ventre!….. S’il vous plait … Vous risqueriez de m’engrosser!….. S’il vous plait … Retirez-vous ….. ” le suppliait-elle affolée.
Mais ses plaintes désespérées ne semblaient qu’accroître son plaisir, alors qu’il l’embrochait de plus en plus vite.
Hélène ne pouvait que gémir son désespoir en l’entendant répondre iro-niquement :
-“Ma chérie … Ma chérie ….. Tu es si douce et si étroite …. Je vais te remplir la chatte avec mon jus de nègre … Je vais te coller un polichinelle noir dans le tiroir madame Baxter!….. Oh chérie, ça y est ….. Je vais jouir salope!….. Urgggggggggggghhhhhhh! ” mu-git-il le corps secoué de spasme convulsifs.
Agrippant fermement ses cuisses laiteuses, Hobie bourra ses 18 centimètres profondément dans l’utérus fertile et balança la purée.
-“Ooh, nonnnnnnnnnnnnnnn!….” gémit Hélène sentant la mentule palpitante exploser au plus profond de son utérus, un nouvel l’orgasme la terrassa avec une brutalité inouïe.
Jamais queue ne lui avait explosé si profondément dans son utérus, ja-mais elle n’avait senti substance aussi chaude lui engorger la fente, jamais son mari n’avait projeté une telle dose de sperme en elle, jamais elle ne s’était senti aussi gorgée de jus fertile, même lors de la concep-tion de ses deux enfants.
Son corps répondait à ses assauts, elle cherchait à conserver sa lon-gueur totale en elle, elle verrouillait toujours ses chevilles dans son dos.
Une dizaine de minutes plus tard, Hobie se redressa lentement, sa bite mollissait doucement alors qu’elle émettait toujours de petits jets de fou-tre glaireux.
-“Alors, remplie à ras bord madame Mills ….. Je t’ai injecté assez de foutre pour te coller des triplés salope!….” se marrait Hobie
Sur ces mots, elle se mit à sangloter et à geindre, Hobie rit à nouveau, il se retira d’elle avec un “plop” sonore lui soutirant un gémissement de honte de la jeune femme dévastée.
Hélène, épuisée, pleurant de honte et d’humiliation s’endormit benoîte-ment. Hobie rampa lentement ne voulant pas l’éveiller pour l’instant, il voulait lui faire une grosse surprise pour la réveiller.
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