Jessica

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Haz 30, 2023 // By:admin // No Comment

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JessicaEn plein hiver 2008, deux amis new-yorkais décident de débarquer à Berlin pour une semaine et me demandent de les y rejoindre pour le gros weekend du nouvel an. J’habitais à Würzburg, une petite ville de Bavière du nord à ce moment là, et il m’était assez simple de les retrouver.On avait réservé deux chambres dans un hôtel atypique dans l’ouest de la ville; les chambres avaient chacune un thème et nous avions loué “la chambre au plafond” et “cabane en forêt”. La première, comme son nom l’indique était décoré de telle sorte que la pièce apparaissait à l’envers avec les meubles collés au plafond, les “vrais” lits quant à eux étaient logés dans des trappes au sol, donc dans le décors du plafond… hum. L’autre était moins impressionnante mais regorgeait de détails sympas, comme une grande trappe en bois avec pour l’ouvrir tout un système de poulies et de cordages qui vous faisait accéder au lit. Des bûches était collées au mur et le reste des murs peints dans un rouge sombre sans être glauque. Il est vrai que dans le lit confiné sous ces bûches -et certainement grâce aussi à une large vitre qui donnait directement sur le bac à douche décoré comme si c’était en pleine forêt- on se croyait bel et bien au milieu des bois. Un petit interrupteur permettait d’ajouter une ambiance sonore drôle mais un peu fatigante au bout d’un moment…On se retrouve donc tous les trois : Charles (prononcer Tcharles bien sûr), Trevor et moi à l’aéroport Tegel de Berlin. Ils ont atterrit il y a quelques jours à Amsterdam, histoire de ne pas “arriver les mains vides” à Berlin. Ils ne se doutaient pas encore de la facilité qui existe pour se procurer toutes sortes de substances dans la capitale de la housse minimaliste. Bref, on monte dans un taxi, découvre hilares l’hôtel puis on fait la visite d’une autre chambre non louée, “sex slave”, je vous laisse imaginer! Quand bien même les accessoires n’étaient pas là (heureusement) tout le mobilier adéquat s’y trouvait placé de manière tout à fait pratique. Sûr qu’elle avait évoqué en nous des images incertaines tant le mobilier était poussé à l’extrême, mais elles étaient toutes très certainement liées au sexe.On est arrivé un vendredi et on choisi d’aller diner au Momsen Eck, espèce de taverne tenue par un couple de septuagénaires mal lunés qui ne voyait pas d’un bon œil les étrangers. Sachant que Tcharles a des origines de Hong Kong et que, ni lui ni Trevor, qui lui est l’archétype de l’américain-mâchoire-carrée, ne parle allemand, ils ont voulut faire plaisir à la patronne insistante et essayer les plats de la gastronomie allemande alors que je me rabattait sur un schnitzel Wienner Art ce qui me valut un regard dédaigneux et fort réprobateur. Tous les plats baignaient dans un minimum de deux plaquettes de beurre, et j’avais secrètement espérer en choisissant la dinde panée qu’il n’y en aurait pas… raté! J’avais déjà pris quelques kilos en Bavière ce n’était pas ici que j’allais maigrir! Après avoir manger ce qu’on a pu, on se dirige vers Marxplatz se balader, boire un verre et pourquoi pas danser! On apprend qu’un boite de nuit très sympa est sur la place au onzième étage d’un immeuble qui nous surplombe, il est encore assez tôt pour y aller d’autant plus que nous ne sommes pas accompagnés ! Nous décidons qu’il n’y a pas une minute à perdre, tous les hommes savent que ce genre de situations peut s’avérer frustrante. On va dans le bar le plus proche mais la clientèle ne correspond pas à ce que nous recherchons, après un verre nous repartons dans notre quête.Nous avons opté pour la manière directe et franche, avouer notre désir d’aller danser mais nous avions besoin d’elles pour rentrer! Notre tactique fonctionna avec le premier groupe que nous avons rencontré sur la place, il était composé de cinq jeunes femmes et d’un homme et ils allaient justement dans la-dite boite de nuit. Parfait.Ambiance étrange dans cette tour de bureau vide avec une partie du service de sécurité en bas, plus l’ascenseur monte, plus les basses emplissent la cage et nos thorax. La porte coulisse et s’ouvre sur le couloir; l’ambiance est à la fête, des couples se roulent des patins, d’autres petits groupes discutent et le fond sonore est maintenant très audible, il vient de derrière ces larges portes sur notre droite. Au moment ou nous allons les pousser la musique est elle-même en train de monter avec un synthétiseur qui va du grave à l’aigu crescendo, comme dans un putain de blockbuster américain, trop bien! La boite, entourée de baies vitrées, nous donne l’impression de nous offrir la ville, l’euphorie commence à nous gagner.La soirée commence bien, Trevor a sympathisé avec l’une des filles rencontré en bas et apparemment la sympathie a muté vers une relation plus tactile. Tcharles, de son côté, a le don d’avoir une tchatche incroyable et une désinhibition naturelle, en peu de temps il va brancher une fille qui lui plait. Depuis le bar, je le vois parler, boire et faire l’idiot pour plaire, je rejoins Brent qui me fais signe de le rejoindre sur la piste de danse, et après quelques minutes une bagarre éclate et Tcharles est impliqué. Apparemment la sécurité est déjà là et vire son opposant. Il n’a pas dragué la bonne nana, il faut croire, sauf que son mec -ou le sérieux prétendant je ne sais pas- énervé s’est fait viré et la nana ne s’est pas privé d’emballer mon pote une demie heure plus tard. Après ces évènements, je décide de me prendre un verre de vodka au bar en îlot qui coure sur une grande partie de la salle, autour duquel de nombreux tabourets m’invitent à m’asseoir pour commander.La barman n’a pas eu le temps d’arriver qu’une jeune femme sur ma gauche me dit : “tu t’es assis à ma place!”, le temps que je jauges le nombre de sièges vides autour de moi, elle me sourit et me dit “ça sera parfait sur tes genoux”. Elle me plut avant même qu’elle ne s’assoit sur moi, à la hollandaise, tout en ne me quittant pas du regard. Elle me dit “je m’appelle Jessica”. La barman s’impatiente et répète sa demande plus fort cette fois-ci, je lui demande ce qu’elle prend et commande nos deux verres. Je lui donne Escort mon prénom, elle a l’air de s’en foutre royalement tant son regard est intense et vissé dans le mien. Ses yeux noisettes sont ronds comme si chaque ligne de mon visage était une curiosité étonnante et je pouvais deviner que mes lignes étaient à son goût par le doux plissement de ses yeux accompagné d’une empreinte de satisfaction à la commissure de ses lèvres.Après s’être échangé quelques mots anodins, elle se lève et me prend la main. Viens on va danser Franck! Je la regarde alors, elle n’est pas très grande mais s’élance sur de fins escarpins noirs qui font remonter les muscles de son petit cul moulé dans son jean blanc. Je me rend enfin compte de la beauté de son corps en entier, l’adrénaline monte alors qu’elle m’entraine sur la piste. Ce qui est bien dans ce genre de moment de communion avec une autre âme, c’est que les mouvements, le rythme et les rires s’accordent à l’unison, et même dans le décalage, les phases s’emmêlent et l’harmonie se crée. Dans cette danse des corps, il est difficile de ne pas vouloir gouter l’odeur de l’autre, notre proximité mutuelle nous pousse naturellement à embrasser les bouts de peau et le visage qui se présentent à nos bouches. Notre tourbillon dure et ne dure pas, tout cela a dut se passer hors du temps.Notre entrain synchrone est passionnel, peut-être est-ce quand nos langues se sont touchées que la pensée sexuelle se concrétise, ou du moins, veut se concrétiser. Collés l’un contre l’autre, mes bras sont enroulés autour d’elle au niveau de ses épaules qui ne sortent pas de mon collier ainsi créer. Mes mains passent sous son chemisier et je lui caresse le dos, des hanches jusqu’au cou alors qu’une de ses mains sous ma chemise me sert le sein avant de s’agripper sur mon omoplate avec les ongles tandis que l’autre descend doucement entre mes jambes. Une de mes mains glisse sur ses fesses comme pour accompagner son mouvement, je ne veux pas qu’elle s’arrête, alors instinctivement je rentre le ventre encore un peu plus et serre mes fesses, ce qui a pour effet de rapprocher la distance, de raccourcir le temps qui se dilate et qui est maintenant infiniment long… Je suis dans un avion en feu qui tombe, faites qu’il touche le sol au plus vite!Explosion BouleversementLe tourbillon devient tornade et cyclone, sa main est resté collé contre ma peau dans la descente et elle agrippait maintenant mon sexe coincé à l’horizontal dans mon boxer. Sa main douce le libère enfin de sa position inconfortable, le soulagement est double, tout comme les envies sexuelles. Je ne peux m’empêcher de lui tendre toujours plus mon érection mais la retenue du lieu publique m’oblige à me contenir. Ma main qui accompagnait son mouvement, après une brève retenue lors du séisme, réussissait, grâce à ses talons à caresser son sexe tout en caressant ses fesses… Après la fougue et les langues pêle-mêle, laissait place à des caresses langoureuses et douces et des mots doux susurrés dans le cou. Si ce moment là était lui aussi hors du temps, je suis sûr qu’il était trop court. Foutu temps qui se dilate hein, et puisqu’on est dans la réalité, il est de ces situations, où nos corps se réveillent, et l’envie de pisser nous a pris. Nous sommes donc allés chacun faire la queue de notre côté. Pas glamour me direz-vous, mais il parait que c’est mieux avec les détails.Elle met un temps fou à revenir. Son emprise sur mon corps est totale. Son odeur, son goût, démultipliés. Je me dirige vers le bar après avoir un peu attendu, mais avec son odeur dans ma bouche et son goût sur ma peau, je sens mon sexe s’épaissir à nouveau et il est probable que mon érection se voit autant qu’elle me gêne pour marcher. Heureusement personne s’en tape. Je commande un shot et je cherche du regard mes comparses, je ne les vois pas, ils doivent être occupés, tant mieux pour eux. Mais ce n’est pas eux que je cherche vraiment, c’est elle et je ne la vois pas non plus. Je bois mon shot qui me donne une vive envie de fumer une cigarette, et après avoir tirer quelques bouffées, elle apparait dans la zone pour fumer. Elle me rejoins tout sourire en me disant qu’on doit très certainement avoir les mêmes envies au même moments ce soir. Et nos jeux de langues repartent, nos cigarettes s’évaporent sans que nous les fumions. Puis la soif, le retour au bar et la magnifique panorama sur la ville. On prit nos verres vers un des piliers intérieurs qui rythmait l’espace et la baie vitrée. Près du coin du bâtiment, ce pilier offrait un recoin parfait pour deux oiseaux en recherche de nid. Une fois assis devant le spectacle urbain, les mots sont superflus, je suis adossé au pilier, elle, est affalée dans une contorsion telle que je peux glisser ma main dans sa culotte tout en l’embrassant alors que la paume de sa main opposé glisse lentement de mes couilles à mon gland qui, en peu de temps, sort littéralement de mon caleçon. Il faut dire que sa culotte humide me rend dingue! Elle sent la chaleur et le peau de mon sexe et esquisse un regard; en voyant le bout de ma queue sortir elle me souris largement et sa tête descend sur mon ventre pour l’embrasser. Après quelques bisous et léchouilles, elle se retourne et me dit simplement, “Je la veux en entier dans ma bouche, mais pas ici!”. Je lui propose alors mon hôtel et sa chambre atypique, elle accepte un peu surprise mais surtout curieuse.On prend un taxi, on commence à s’embrasser et je m’excuse auprès du chauffeur prétextant que je suis français! Je ne sais pas vraiment si ça l’a soulagé du bruit qu’on faisait à l’arrière mais je dois bien dire que j’en avais rien à faire à cet instant. J’imagine que les vues sur les bouts de peau de ma ravissante compagne l’ont sustenté puisqu’il a été très amical tout du long. Je le paye et nous montons dans la cabane. Quand j’ouvre la porte elle rit et me jette dedans. Elle veut m’embrasser mais les poulies et les câbles sont trop curieux. Je lui explique alors que je l’ai enlevé et emmené dans ma cachette au fond des bois et elle ne peut pas sortir à cause de ce système diaboliquement Escort Bayan génial. Tout à coup son air jovial disparait et se yeux se transforment en purs amandes de félin, noirs, plein de désirs. Elle défait alors les rares boutons de son chemisier en un éclair et se jette contre moi en me demandant de la prendre ici, maintenant. Elle m’embrasse en déboutonnant mon pantalon, j’essaye d’enlever ma chemise, qui elle, a vachement plus de boutons. Je suis encore au milieu de la chemise que je sens mon caleçon descendre, une main attrappe ma fesse, elle me fait un dernier sourire malicieux et s’agenouille. Elle commence par regarder mon pénis nervuré par la forte érection que la situation provoque, elle est dressée, dure comme un gratte-ciel. Elle décide de coller son visage dessus, elle ferme les yeux et inspire l’odeur chaude qui émane, l’embrasse doucement au milieu de la verge, sa main vient enfin se poser autour, sa bouche descend jusqu’au niveau de mes couilles et se met à la les lécher comme si elle avait succombé au charme d’un sorcier. L’envoutement n’a fait que monter en puissance, sa langue pleine de salive remonte lentement tout du long, et juste avant de prendre mon gland dans sa bouche, elle me lance un regard de chatte, savoureux du plaisir que cela allait me procurer.Je n’ai pas souvent envie de jouir pendant une fellation, non pas que je ne sois pas tombé sur des femmes qui n’étaient pas bonnes à ça, mais peut-être que je n’ai aucune envie que cela s’arrête, je dois aimer beaucoup trop ça. Je lui avais retiré son soutien gorge pendant qu’elle s’occupait de moi et elle en avait profité pour me faire sentir la peau douce de seins ronds sur mes parties “ensalivées”, elle en a profité pour débouter son jean et glisser sa main dans sa culotte avant de reprendre son va et vient buccal. Au bout d’une grosse dizaine de minutes, la bûche sous mes fesses m’irrite un peu. Je l’attrappe par les cheveux et lui indique d’aller vers le haut.J’en profite pour me dégager de mon jeans et caleçon encore sur mes chevilles, en me penchant pour les enlever, ma tête se retrouve juste à la hauteur de sa main qui sort de sa culotte. Je lui ordonne de me mettre sa main dans ma bouche, je lui dit que je veux la gouter aussi, que je vais le faire de toutes façons, que c’est la suite de nos ébats. Elle sourit et pose ses doigts sur mes lèvres.Je suis nu, elle n’a plus de haut et son jean laisse apparaitre une culotte bleue nuit décorée de dentelle, je prends la poignée qui ouvre la trappe en bois qui finalement est assez lourde. Elle ‘arrête et m’intime qu’elle veut le faire. Elle attrappe la corde et se met à tirer pour relever l’accès, elle est un peu penchée en avant et rigole en me disant que ça serait bien pour sa gym un truc comme ça chez elle. Elle ne se rend pas compte de l’excitation que sa position provoque en moi, je me rapproche d’elle et lui colle ma raideur contre le cul, je lui attrappe les seins et lui mord le dos, gentiment bien sûr, mais elle sursaute un peu quand même. Je lui baisse le pantalon et la culotte au niveau de la commissure des fesses et des jambes et lui demande de recommencer le même mouvement avec la corde. Son regard malicieux encore, m’indique qu’elle vient de comprendre ce qui s’est passé de mon côté. Je me baisse à mon tour au niveau de son sexe et le contemple, j’ai gardé mes deux mains sur ses reins. Ses lèvres fines sont déjà un peu ouvertes, son clito apparait à peine; un filet de cyprine transparent le relie encore à la culotte tâchée de nectar. En faisant le mouvement elle ose un “Tu aimes…?” mais elle n’a pas le temps de finir sa phrase, mon cerveau reptilien a prit le dessus, tous mes ses sens sont à la merci d’un seul objectif, le sexe. Je ne peux m’empêcher d’inspirer ses hormones qui finissent de me déglinguer et ma langue se jette alors sur ce magnifique con dégoulinant déjà de plaisir. Je m’en mets partout, je veux son jus partout sur moi, à commencer par mon visage, et dans ma folie je lui agrippe les reins plus fort, la forçant à cambrer, son petit trou se découvre alors en grand et ni ma langue ni le reste n’est sous contrôle: je lui lèche d’abord autour de l’anus et ma langue finit par se retrouver autant dans un trou que dans l’autre, et je me délecte de tous les goûts de ma partenaire. Elle aussi devient folle, je le vois bien, elle a eu un petit cri de surprise (qui n’en n’est pas vraiment une) lorsque j’insère ma langue dans son joli petit trou . Je mets deux doigts dans son sexe, elle me supplie de ne pas arrêter, son plaisir coule et ma queue me supplie de la faire participer, elle n’en peut plus, se révolte, je me relève inconscient, mon cerveau est abruti, ma queue quant à elle, est en pleine possession de ses moyens, c’est elle d’ailleurs qui contrôle maintenant tout mon corps.Cela doit bien faire maintenant quinze minutes qu’elle retient la trappe de ne pas retomber dans cette position. Je viens verrouiller alors la corde et lui intime de se glisser par la trappe dans la cabane de bûches. Pour y accéder il faut se mettre à quatre pattes, je l’invite à s’y glisser en premier. Sourire malicieux. Elle s’arrête à l’entrée, regarde dans ma direction pour bien s’assurer que je regarde et dit “Regarde mon cul, il te veut, il veut ton membre dans tous mes orifices, montre moi que tu l’aimes…” Elle dandine en même temps de droite à gauche en cambrant les reins, ses hanches se détachent de son corps, elle finit par “… cela m’excite tellement d’être l’objet de ton désir le plus brut!”Je réalises que j’ai ma queue dans la main et que je me masturbes en l’écoutant, son sourire, son sérieux, son désir, son regard sûrement, tout en moi rentre en état de vibration intense accompagnée d’ une déchirure abdominale qui me transperce comme un condensé d’amour vif.Je me dis souvent que le regard que j’ai dut avoir à moment là aurait fait réagir n’importe quelle féministe, et je les comprend. Mais à ce moment, c’est le regard qu’elle voulait me voir avoir. Je l’ai regardé un instant puis je me suis remis à contempler son corps dans cette cabane, moi Bayan Escort contrôlant la seule entrée, en train de me masturber. Sa formule magique m’a envouté, le truc le plus horrible aurait pu arriver, rien ne m’aurait sorti de mon hypnose. Je me baisse pour la rejoindre à l’intérieur et je me retrouve encore face à sa jolie chute de rein bien ouvert. Je ne peux m’empêcher de regoûter sa vulve, au moment même ou ma langue vient toucher ses lèvres, elle lâche un petit cri et quelques gouttes de nectar viennent se déposer sur ma langue ainsi qu’une goutte sur le bout de mon nez. Ma langue plonge alors dans son sexe pour récupérer ce qui reste, elle me regarde faire, amusée et me dit avec une craquante, qu’elle veut, elle aussi, sucer mon jus. 69.Le temps passé à se délecter de nos corps et du plaisir qu’on en extirpe est incalculable. La notion de temps n’existe tout simplement pas, le seul à pouvoir nous sortir de là est notre corps lui même. Être à bout physiquement j’entend. Aucun problème de ce côté là pour nous. Nos corps de pré-trentenaires étaient possédés par une force vive rythmées d’orgasme et de gémissements. Après un moment, incertain donc, elle sursaute et se retourne en pensant tout haut “j’en peux plus”. En un rien de temps elle pivote, empoigne ma queue raide, et s’empale dessus en me regardant très sérieusement, cela m’a rappelé son premier regard en boite alors qu’elle me réclamait mon siège. Une fois arrivée au bout de ma queue son visage s’ouvre et me sourit, ses seins qui bougent au dessus de moi sont magnifiques, je dois les embrasser. Je l’enlace alors en me relevant un peu, ce qui enfonce un peu plus mon sexe dans le sien, je sens sa mouille couler sur mes couilles; j’aurai explosé de tout mon jus si je n’avais pas été possédé.Ma position mit un stop à ses va et vient saccadés, mon bras droit lui met une légère pression dans le dos, la fait un peu cambrer et lui colle son clitoris contre mon ventre, et l’avant bras remonte le long de sa colonne de sorte à pouvoir attrapper son cou. Mon autre main caresse et serre ses délicieuses fesses, et je commence à la bouger tout en faisant un mouvement du bassin pour bien rentrer au fond d’elle. Pendant mes caresses, le majeur de ma main gauche a tendance à se balader et pénètre tout seul dans son petit trou encore plein du mélange de ma salive et de son jus. Son sourire et son petit “ah” à chaque pénétration m’invite à l’enfoncer un peu plus. Quand mon majeur et mon index sont rentrés je presque relevé, une position dans laquelle les deux corps se baisent comme dans un rapport lesbien. Elle m’enlève les doigts dans un sursaut et les porte à sa bouche et elle les lèche lentement, me regarde puis se sort de notre étreinte et se positionne sur le ventre le jambes serrées et écarte ses fesses de ses deux mains m’offrant son anus, on aurait dit, essoufflé.Une femme qui s’offre sans aucune inhibition, qui montre son trou s’ouvrir et se fermer indépendamment de sa volonté, comme s’il me demandait à tout prix de s’occuper de lui, reste encore et restera certainement, mon fantasme le plus vif.Je me place au dessus d’elle et dépose mes couilles sur la soie de ses lèvres et frotte mon sexe dans la raie de ses fesses, après quelques va et vient, je commence à lui enfoncer mon gland qui rentre mais ressort aussitôt, son gémissement est intense et rend ma queue trop dure pour rentrer dans cet angle, mais comme il est parfait pour pénétrer son con, je le fais, un peu fort volontairement, sa surprise se mélange à son contentement, je reste bien enfoncé et en profite pour remonter un peu, son gémissement . Sa chatte encore toute humide lubrifie bien ma queue pour le prochain coup de rein… Pendant que je ressort, elle se met presque de trois quarts, ses mains écartent toujours ses fesses bien levées à la verticale, mais le haut de son torse se contorsionne, elle veut regarder et comme elle ne peut pas, son regard revient vers moi et elle reprend son souffle. Je suis un genoux à terre, l’autre jambe chevauche le bas de son dos, sa position me permet de l’attrapper par le cou d’une main et de l’autre je dirigeait ma queue pour qu’elle rentre au mieux. Je suis rentré en elle aussi bien qu’elle m’a laissé faire, et après une dizaine d’aller-retours délicats elle est assez ouverte pour que ma main puisse s’agripper à sa hanche et mes reins faire le travail.Ses yeux ont disparus dès la première pénétration anale, ils réapparaissent quand je ralentis ou m’arrête parce que le jus monte de trop et quémandent en montant un peu plus haut encore les fesses. Je n’en peux plus, sa demande matérialisée par tout son corps me remplit d’amour, je vis à ce moment dans un monde fabuleux. Son petit jeu incontrôlée de remonter ses fesses à chaque coup de reins, l’ont finalement laissé dans une position étrange, sa tête contre le matelas ses genoux contre les oreilles que les fesses en l’air, moi à califourchon la pénétrant de tout mon long, de tout mon poids. Elle comprend avant moi que je vais jouir et s’en délecte déjà en me demandant mon sperme alors que je sens la sève monter, j’explose à moitié en elle, sur son visage, ses seins sans oublier le matelas et autres sac de voyage pas loin! Une putain de fontaine à foutre, incroyable! Ma jouissance est très longue, je finis par m’affaler à ses côtés, elle me regarde en souriant et me dit “ton sperme m’excite…” avant de venir me lécher ma queue encore dure et toute moite de nos ébats, elle ajoute ensuite ” je veux remercier te couilles pour ton sperme” et m’avale une couille après l’autre… Ce massage buccal m’apaise tellement! Il m’excite aussi, mais je suis vidé, pourtant ma queue durcit, Jessica se remet à me lécher la queue de haut en bas et suce le bout de mon gland, au bout de cinq minutes d’un paradis au paradis, je sens à nouveau une montée de jus qui arrive directement dans sa bouche. Elle me sourit et vient se blottir dans mes bras. Mes sens s’embrouillent, la réalité m’échappe, je m’endors de la plus belle façon.Elle me dit alors “Dors mon homme, tu as comblé un autre corps qui je l’espère t’as comblé. Demain, nous serons l’un pour l’autre l’un des meilleurs souvenirs de notre vie! “Le matin je me réveille, elle n’est plus là, seule son odeur et ses mots persistent et résonnent encore aujourd’hui en moi: c’est l’un des meilleurs souvenirs de ma vie.

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